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  • 28 septembre 2007

    Fatigué

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    Je me sens fatigué en ce début d'après midi........

    ouep.......

    envie de faire une grosse sieste

    .......de lésarder sur mon canapé en silence.

     

    Mais je peux pas !

    Obligé de rester au boulot jusqu'à au moins 17heures.

     

     

    Pfff....

    C'est pô juste...

    Trop dure la vie !

    24 septembre 2007

    Monsieur le Secrétaire Académique

    3 commentairess
    Me voici entré dans mes nouvelles attributions...


    "Secrétaire Académique"


    Non il ne s'agit pas de la Fédération Libanaise du Droit,

    ni de la Fondation des Libraires Dégénérés (si vous voulez des candidats, j'ai des noms...)

    et encore moins de la Fédération de la Langue Danoise...

    pas plus que de la French Legacy Department

    ou de l'improbable Freôchuth Lbrùrnik Djôeveriknicjë (qui, rappelons le à nos chers lecteurs, a été dissous en 1973 sur décision de Papatrovitch Mirentchtröevie..................... HUMOUR !)



    Non, rien de tout ça ! 

    [passage supprimé]

    La rentrée a eu lieu ce matin à 9H, après moult péripéties et des semaines de travail préparatoire : contacter des profs, trouver une salle en état d'accueillir une trentaine d'étudiants, monter les emplois du temps, rencontrer les étudiants potentiels... affronter les cerbères locaux qui aboient à tout va (mais mordent rarement)... affronter un univers parallèle où les lois du bon sens et de l'évidence n'ont plus cours, un peu à la manière de la maison des fous d'Astérix et Obélix. Bref, je ne rentre pas dans le menu détail, mais beaucoup de choses ont été faites pour en arriver là.

    Exemple d'absurdité incompréhensible : une jolie salle nous avait été affectée en juillet dernier. Pile poil à coté de mon bureau, de volume bien proportionné, avec un petit plus : un coin bar... très rigolo.

    Quelques semaines plus tard (en septembre), nous nous rendons avec le Doyen sur les traces de "notre" salle de cours et découvrons avec stupéfaction une incongrue cloison en placo partageant l'espace en 2 volumes totalement idiots... tout ça parce que un service de formation continue à la c**avait besoin (pour la rentrée 2008 !!) d'une salle de 12.... oué, une salle de 12... Mais ça s'est vu où qu'on saccageait des locaux magnifiques pour un troupeau de 12 tondus ? Quand on vous plonge dans la 4° dimension, ça fait pas semblant. On a beau eu recourir à tous les stratagèmes possibles (contacter le XV toulousain pour organiser un entraînment dans la-dite salle, louer une paire de masses chez Casto : une cloison en placo est si vite tombée,  y organiser un tournoi de lutte gréco-romaine, lacher un troupeau d'éléphants névrosés, soudoyer les ouvriers....) mais rien à faire : contrairement au mur de Berlin - qui lui était bien plus solide - la foutue cloison en placo de mes deux n'est pas tombée... Il nous a donc fallu dégoter un nouveau local en jouant finement et en négociant habilement, ce qui ne fut pas simple ! Finalement on l'a notre salle... mais après combien d'inutiles péripéties ?! Hé oui... pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué me demanderez vous ? Parce que sinon c'est pas drôle... Mwé... n'empêche que parfois, faire simple directement permet de ne pas rire jaune, couleur qui n'est pas ma préférée en la matière. 

    Au programme de cette journée de rentrée : accueillir les étudiants, accueillir les profs, parer aux imprévus, quelques tâches administratives de la première importance, des coups de fil, des mails, quelques tables à déménager... la routine quoi. Tout ça pour nos 30 petits zétudiants qui, grâce à nos soins et à un emploi du temps de barbare, ne tarderont pas à devenir de brillants juristes... s'ils survivent à nos projets sadiques........... Mwahahahahaha !!

    Secrétaire Académique... ça sonne bien hein ?

    Et pis fallait voir comme j'étais beau dans mon constume... n'est-ce pas Mylène ? (qui a eu l'insigne privilège de prendre un café dans mon beau bureau).

     Je sens une question vous tarauder (si si, ne mentez pas... je le SAIS) : Mais dékoidonc un "secrétaire accadémique" ?

    Hé bien, il sert à faire le lien entre le Big Boss (qui est à Lille et ne déscend que quelques jours par mois) et la réalité du terrain : les profs, les étudiants, l'administration, etc etc... Bref, toutes les emmerdes auxquelles on peut imaginer d'être confronté, et même au delà.


    Secrétaire Académique.... "c'est plus chic que Doyen" m'a dit mon Directeur de Thèse.


    Oué... C'est peut être plus chic... mais nettement moins bien payé  ><  !!




    21 septembre 2007

    De l'importance des détails... 1+1=1 ?

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    Fréhel

     

    Nous irons au Cap Fréhel

    pour devenir immortels

    dans la grandeur du matin

    dans le ciel plein de parfums

     

    Nous prendrons les pierres roses

    pour le trône de l'hypnose

    nous courrons dans la nuit noire

    autour des bijoux du pharre

     

    Nous filerons sur la lande

    dorée comme une légende

    nous irons au Cap Fréhel

    pour devenir immortels

     

    Nous irons au Cap Fréhel

    pour devenir immortels

    à la chasse aux émeraudes

    quand le vent poivré maraude

     

    Sur les lichen transparents

    le topaze et le diamant

    nous dévoreront l'écume

    virginale dans la brume

     

    Nous roulerons dans les dunes

    sous le manteau de la lune

    nous irons au Cap Fréhel

    pour devenir immortels

     

    Nous irons au Cap Fréhel

    pour devenir immortels

    nous prendrons dans nos filets

    les bateaux frêles jouets

     

    En hurlant avec les loups

    et le moutons blancs et doux

    nous deviendrons l'eau et l'air

    quand surgit le vent de terre

     

    Nous volerons près des braises

    qui tapissent les falaises

    quand le couchant fait des signes

    même aux touristes indignes

     

    Nous irons au Cap Fréhel

    pour devenir immortels

    nous irons au Cap Fréhel

    pour devenir immortels

     

    B. Fontaine, Rue Saint Louis en l'île

     

    17 septembre 2007

    Humeur du jour

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    En guise de billet d'humeur du jour,

    cette petite chose piquée sur le net sur le blog d'une lectrice que je remercie au passage.

     

     

    On a demandé au Dalai Lama :

    « Qu'est ce qui vous surprend le plus dans l'humanité ? »

    Il a répondu :    

    « Les hommes ! Parce qu'ils perdent la santé pour accumuler de l'argent.

    Ensuite ils perdent de l'argent pour retrouver la santé.

    Et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte

    qu'ils finissent par ne vivre ni le présent ni le futur.

        Ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir.   

          Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu. »

    Ars longa, vita brevis...

    14 septembre 2007

    Il y a des semaines comme ça où...

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    Il y a parfois des semaines où, avant même qu'elles ne commencent, l'on se demande déjà comment on va réussir à faire tout ce que l'on doit. Vous savez celles où l'on case un rendez-vous entre deux rendez vous dont on sait par avance qu'ils vont durer forcément plus longtemps que prévu, de ces semaines où chaque journée dure 42 heures, de ces semaines pour lesquelles une demi journée de travail vous a autant vidé qu'un mois entier de boulot, de ces semaines qui n'en finissent plus et qui s'étirent mystérieusement, de ces semaines Hydre de l'Herne où l'on ne sait pas comment on va s'en sortir face à la masse imposante de choses à faire et dont la liste ne fait que s'accroitre de façon exponentielle au fil des jours, de ces semaines horribles où les nuits durent une minute et ne suffisent plus à refaire le plein, de ces semaines où l'on voudrait se cacher sous les draps le temps que ça passe et qu'on n'en parle plus...

     

    Et pourtant, les jours passent, le week end approche imperceptiblement, et, comme par enchantement, le travail s'effectue proprement, efficacement, sûrement, les épreuves sont surmontées les unes après les autres, les pièces du puzzle s'agencent en un ordonnancement parfait, tout s'emboite, tout coïncide, tout marche sans accroc, les résultats souhaités se produisent, d'autres - inattendus - se réalisent, de nouvelles perspectives auxquelles on aurait même eu honte de songer se profilent, des rencontres, des découvertes...

     

    On n'en ressort pas indemne, on est littéralement vidé, terrassé par ces mille deux cent douze travaux herculéens dont on sort triomphant, on a besoin de dormir -beaucoup- et de recharger les batteries car le week end s'annonce également bien rempli.

     

     


     


    Alors ce soir, c'est cocooning.

    Veux voir personne...

    rien faire...

    sinon prendre un grand bain bouillant et finir affalé sur mon canapé à mater un bon film (je dois bien avoir ça en stock quelque part).

     

    En espérant que la semaine prochaine sera plus clémente.

    Mais je sais déjà que ce n'est pas gagné.

     

     


    Vous voulez connaître le pire dans toute cette histoire ?

    C'est que j'adore ça !!

    9 septembre 2007

    Petits plaisirs du dimanche matin

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    Se réveiller au son d'une chanson qu'on aime

    ouvrir les volets et s'apercevoir qu'il fait beau

    marcher pieds nus sur le parquet

    Boire son café au soleil dans la fraîcheur du matin

                                    regarder les premiers joggers le long du canal

    sentir l'odeur du jasmin qui refleurit

                                      lire ses mails et sourire

               

    prendre son temps

                                                                                                  Savoir que vous allez savourer votre dessert préféré à midi           

     

    Avoir des amis qui vous attendent tout au long de la journée et n'avoir rien d'autre à faire

    8 septembre 2007

    Être ou ne pas être ?

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    Vous est-il déjà arrivé de ne pas vous sentir à votre place quelque part au point de ne vouloir qu'une chose : partir ?

     

    Cet aprèm mon frère était témoin du mariage d'un pote à lui que je connais aussi. Mes parents et moi même étions également invité.

    Avait tout d'abord lieu la messe à 14h. Si si... vous avez bien lu 14h, sachant que le mariage civil avait, quant à lui, eu lieu jeudi dernier. Personne n'a à cette heure encore réussi à me fournir une explication rationnelle à cette heure précoce ni à cet agencement pour le moins étrange. Certains avancent l'hypothèse d'une conjonction du trigone de la vierge dans la maison des gémeaux en ascendance avec mercure, d'autres une micro-rupture du continuum espace-temps engendré par une irradiation massive de rayons gamma provenant d'une supernovae super-massive dans le nuage de magellan, d'autres enfin invoquent un complot intergalactique mené par une intelligence extraterrestre ayant pour seule ambition de conquérir l'univers... Mulder et Scully sont sur le coup. Puis le cocktail devait être servi à 18H à quelques Km de là. Si, si, vous avez bien lu 18H... ce qui laisse pas moins de 3H à poireauter entre la fin de la messe et le commencement des victuailles. Sortis de l'église, nous (mon frangin, ma belle soeur et un pote à nous, enfin, surtout à mon frangin, et moi) nous sommes dirigés vers une terrasse de café ou nous avons pris notre mal en patience, aidé pour ma part d'une pinte de Guiness (Rhaaaaaa lovely).

    17H30, nous embarquons dans nos véhicules direction le cocktail. Une demi heure plus tard, nous voici sur le pied de guerre, attendant avec impatience que les serveurs finissent d'agencer les tables de service sur lesquelles sont disposés verres et canapés de circonstance. Déjà là je commençais à tourner en rond, à espérer qu'un coup de fil ou un texto viendrait rompre ma solitude (toute relative car se trouvaient là des gens que je connais très bien). On nous fait signe d'avancer, les bouchons de champagne sautent accompagnés de "plop" crépitants, les gens se pressent autour du buffet, les verres s'emplissent de bulles tournoyantes , les esprits s'égayent, la fête commence.

     

    Bien qu'ayant échangé deux ou trois phrases avec diverses personnes, aucun partenaire de jeu à l'horizon, personne avec qui entretenir une conversation dotée d'un minimum de fond ne s'était manifesté, malgré les 3/4 d'heure qui s'étaient déjà écoulés... Ho, je ne suis pas très exigeant, j'aurais même pu parler du match de rugby d'hier soir contre l'argentine, c'est dire ! Et pourtant, rien.

    La solution eut peut être été de me réfugier dans les robes de mon frangin ou de mes parents, comme le font les petits garçons qui ont peur de rester tout seul. J'ai assez donné dans le genre, je ne veux pas leur imposer ma présence et tiens à conserver cette autonomie, cette indépendance d'esprit, que je cultive maintenant depuis quelques temps et dont je retire une certaine fierté.

     

    Je me tiens là, debout, mon verre à la main, au milieu de tous ces gens que je ne connais pas, qui me sont totalement étrangers et que je ne reverrai sûrement jamais de toute ma vie pour la majorité d'entre eux, j'observe ce petit monde heureux (et il aurait tort de ne pas l'être) soigneusement endimanché. J'ai l'impression dérangeante d'être totalement extérieur à ce qui se passe autour de moi, comme une pièce rapportée, et d'être plus ou moins transparent, même si de loin en loin on me lance des regards en trinquant à la santé des mariés.

     

    Et là ... me vient clairement à l'esprit la question que je me pose inconsciemment depuis quelques minutes déjà :

     

    Mais qu'est-ce que je fous là ?

     

    Ne trouvant pas de réponse, je me dirige vers le bar, demande au serveur un verre de jus de fruit que j'engloutis d'un trait, tourne les talons, et, sans rien dire à personne, rejoints calmement ma voiture garée sur le parking. 

     

    Quelques courts instants plus loin

    je roule vers Toulouse

    la lumière du crépuscule embrase la ville 

     

    je me sens bien

     

    enfin !

    7 septembre 2007

    Je sens que ça va me gonfler...

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    Il est des moments fatidiques dans la vie d'un homme

    où l'on sent que les jours à venir vont être particulièrement éprouvants.


    Ce moment est arrivé...


    Je vais devoir affronter mon destin...


    Déjà cette journée risque d'être rude. Des cohortes de supporters assoiffés de bière dégueulasse vont sûrement envahir les terrasses Toulousaines de leur bruyante présence sudoripare et crasseuse, les conversations jusqu'alors insipides vont virer à la transparence navrante d'éructations barbares aux accents subtilement avinés, les placards en 3x4 imposent depuis deux ou trois semaines l'image satisfaite de quelques bélâtres encostumés dans leur maillot moulant ou promouvant quelques néfaste-food dans une pose dégageant une suffisance inversement proportionnelle à la qualité de l'amalgame hydro-carbonné dont on nous suggère l'ingestion, depuis quelques heures "le" calendrier circule déjà avec ses photos porno-chic qui ne dépareraient pas dans un Têtu ou tout autre magazine Gay, la Une de nos quotidiens va invariablement tourner autour du même sujet qui va accaparer nos concitoyens pendant 15 jours, à grand renfort de slogans tous aussi navrants les uns que les autres... Hier encore une pub pour Carouf' faisait la promo pour des vêtements de sport et autres articles dédiés au ballon ovale. Et ce ne sont là que des prémisses...

    Bref, la coupe du monde de rugby dont le coup d'envoi sera donné ce soir va transformer mes 2 prochaines semaines en calvaire mental, pour la simple et bonne raison que, tout autant que le foot, la F1, le curling, le tour de france, la route du rhum, etc. etc ...

    JE M'EN TEMPONNE LE CROUPION !

    Je m'extasie toujours devant les conversations enflamées de mecs dans ma salle de sport qui réussissent l'exploit de blablater pendant une heure non-stop sur le match de la veille et de débattre du meilleur joueur du match (oui, il  a bien joué... c'est juste son métier, il s'entraîne dur pour ça, et en plus il est honteusement bien payé... alors jouer proprement relève du minimum), du but marqué par untel à la 34° minute dans la lucarne gauche (bé oué, il a été marqué, le but... so what ?), du carton infligé par l'arbitre (bé oué, l'aut' il lui cassé la tête d'un coup de pied judicieusement asséné au sol... ne confondons pas le foot ou le rugby avec les jeux du cirque : pour l'instant personne n'a eu l'idée de lacher un lion sur le terrain... ça pourrait être drôle remarquez !), enfin, de discuter dans le vent intégral parcequ'au final, ben ça ne changera rien au match ! Ce genre de discussion stérile me sidérera toujours. Parce que non seulement ça ne sert à rien (bé oui, Môssieur le Grand Chef de l'Equipe de Rugby ou de Foot qu'il est très très très balaise parceque c'est lui le Grand Chef, ne va pas demander à Môssieur Tartempion, vigile au centre commercial de Truc-chose ou à Môssieur Truc-Bidule, étudiant en 3° année de géographie, de lui exposer ses vues sur la stratégie de jeu à adopter lors des prochains matches de coupe de champions league ou de ce que vous voulez... ça fait juste 10 ans qu'il y réfléchit jours et nuits, qu'il cotoie les joueurs jusque dans leur intimité la plus intime (joliment redondant mais je laisse), analyse tous les résultats avec un super ordinateur très très très très puissant qui a réussi à déduire l'existence du gâteau de riz et de l'impôt sur le revenu avant qu'on lui pose la moindre question[1] , qu'il a revu tous les matches des 250 dernières années filmés sous tous les angles, assimilé toutes les stratégies de jeu des équipes du cosmos ainsi que leurs inombrables variantes, pour savoir assez sûrement que X jouera à tel poste et que Y restera sur la touche passke c'est un gros nase), mais en plus, ça ne sert à rien ! Hein ? Je l'ai déjà dit ça ? Bon, ben vous voyez à quel point ça m'énerve alors ! Donc, cela ne sert strictement à rien, leurs propos retourneront irrémédiablement dans l'oubli et le néant duquel ils n'auraient jamais dû sortir, et nos deux compères sortiront de leur verbiage stérile satisfait d'avoir brassé du vide et donné un sens insignifiant à leur vie l'espace d'un moment.

    Le pire dans tout ça, c'est que nos deux protagonistes échangent parfois avec une véhémence qui ferait pâlir un parlementaire de l'opposition anti-Dreyfusarde, le ton peut monter sérieusement jusqu'à ce que, dans certains moments de grâce divine, une baston bestiale éclate... quand l'homme renoue avec son cerveau reptilien...

    Ce qui s'appliquait au foot va désormais se transposer à l'ovalie... On n'est pas sortis de l'auberge !

    Le pompon : Toulouse, terre d'ovalie (si si.... on fait des zavions et on a aussi une très bonne équipe de rugby ; on a aussi une équipe de foot, mais on en parle moins, je ne m'en plains pas) est en plus ville organisatrice : à ce titre elle accueille pas moins de 4 matches dont au moins 2 (j'y connais pas grand chose) seront particulièrement courrus : l'un avec l'équipe de France, l'autre mettant en scène la Nouvelle Zélande et ses célébrissimes All-Blacks. 

    Je le sens, ça va être dur.... trèèèèèèèèès dur....


    Let the nightmare begin !




    Mes bien chers frères, mes bien chères soeurs, méditons ensemble tous en choeur cette parole de Nietzsche :






    Amen !



    [1] toute ressemblance avec H2G2 ne serait que purement non-fortuite ! Bé oui que voulez vous !

    1 septembre 2007

    Houlà.... vite un billet !

    1 commentaires
     

    Ben dites donc, faut que je me reprenne moi... voici plus d'une semaine que je n'ai laissé aucune trace sur ce blog... ça ne va pas d tout cette histoire.

    C'est que pour l'instant je n'ai pas grand chose à raconter de bien interessant (enfin, si ma vie en elle même mériterait qu'on y consacre une épopée littéraire façon Légende des Siècles, mais je suis trop modeste pour ça). Entre les soirées sympa autour d'un anniversaire de mariage, les journées entre amis après une expédition lourdaise expresse pour une messe à 3 mains, des randos et du canyoning, un peu de lecture thésardesque, une semaine dans la peau d'un prof de musique, des pétages de plombs d'intensités variables, quelques bouleversements forts mais bienvenus, pas mal de sport, un déménagement (pas le mien !) et un brin de farniente, les mois de juillet et août se sont écoulés avec un empressement hors du commun de sorte que me voici déjà propulsé au 1er semptembre !

    J'aime bien le mois de septembre : il y fait frais le matin, le journées sont encore belles, la nature se pare de couleurs fauves, l'agitation de la ville fait son retour, on peut manger des crêpes avec du chocolat quand il fait trop froid, et passer des dimanches cocooning chez soi quand pleut et que le ciel est gris.

     

    Je ne vais pas m'éterniser pour écrire alors que je n'ai rien à dire de bien palpitant. La semaine prochaine, je vous raconterai du nouveau... promis.

     

    Si : JE VAIS BIEN ! Allez, hop ! Bé oui, ça n'arrive pas qu'aux autres.

    NOooooooooon.... je vous vois déjà venir avec vos gros sabots terreux... je n'ai pas trouvé l'âme soeur, ni gagné au loto, ni terminé ma thèse, ni quoi que ce soit d'autre.

     

    Juste, je me sens bien.

     

    Et ça fait un bien fou !