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  • 26 avril 2008

    Météorologie

    0 commentaires
    Attention : Ce billet du jour est d'une portée philosophique exceptionnelle.

    Assurez-vous d'avoir préalablement relu Kant, Nieztche, Alain et l'oeuvre de Sim avant que de vous aventurer plus loin.

    Vous êtes prévenus...

     

    Ca y est...

     

    LE PRINTEMPS EST LA !

     

    Ouiiiii ! On n'y croyait plus, on le pensait perdu pour toujours, donnant raison aux prédicteurs d'apocalypse : " Laaaa fiiiin des temps est lààà ! Trrrrreeeeeembleeeeeeez pauvres mortels car l'heure du jugement est prrroche " (à lire d'une voix rocailleuse et tremblottante).
    Que nenni ! S'il est bien une heure, c'est celle de sortir mon bougainvilier sur le balcon pour qu'il fasse le plein de rayons régénérants et qu'il me donne dare dare un flot de fleurs éclatantes dont il a le secret.


    Le soleil... la vie !

    Ca commençait à bien faire ce temps de Breton (ami Breton si tu me lis, je te salue bien bas derrière ton cirré jaune). L'autre jour mon directeur de thèse me disait : "beau temps pour un mois de novembre non ?". Oué, il est super fun mon DDT... même qu'il m'écrit des mails en latin ! Ben oué, on est au printemps depuis déjà un bon mois et pas un seul jour ne s'est écoulé où l'on a pu se dire avec conviction que l'hiver était bel et bien fini. Rhalalalalala ma pauv' dame... y'apud'saison ! Et avec tout ces satellites qui nous détraquent la météo !
    L'autre jour, une connaissance qui habite de l'autre coté de l'Atlantique me disait qu'ils avaient eu un hiver "à faire s'éffondrer les maisons" ! Outre l'expression que j'ai trouvée particulièrement marrante, on m'a confirmé hier qu'il ne s'agissait pas d'une boutade mais bel et bien de la stricte vérité... Il y avait en effet encore 5 mètres de neige dans les rues de Montréal voici encore seulement 15 jours ! 5 mètres, ça représente environ 2 niveaux d'un immeuble ! Rien que ça... Alors, oui, de la neige à faire s'éffondrer les maison !!
    Toulouse point de vue neige c'est assez tranquille. Dès qu'il tombe 2 flocons c'est le plan d'urgence : on appelle l'armée, les tanks sont dans la rue, les hélicos survolent la ville, hormis les enfants qui font des batailles de cailloux, personne ne met le nez dehors. "De la neige ? Aaaaaaargh... Mon Dieu nooooooon !". Oui, le Toulousain a peur de la neige comme la poule du renard. Allez comprendre.

    J'en entends déjà quelques qui grommellent - non sans raison - : Mais qu'est-ce qu'il nous gonfle le Tambour Major avec son soleil et sa neige alors qu'il a passé 2 semaines à se dorer la pilule sous les tropiques, alors que nous on est restés là comme des nouilles à subir les frasques d'une météo déliquéscente ?

    Oui, oui, oui... Mais justement ! Quand on a passé 15 jours sous un climat tropical à 27°C de moyenne sous un soleil resplendissant, ben croyez moi, le retour sous nos latitudes est un choc culturel à part entière... Ayez conscience que j'avais pratiquement oublié ce qu'était un pull ! Et que depuis mon retour j'en porte un tous les jours sous peine d'hypothermie... Oui, je souffre... vraiment beaucoup. Ma vie est un enfer.

     

    Mais trève de neige et de verglas, l'astre du jour est en pleine forme qui inonde les terrasses de lumière, fait sourire les filles et bronzer les matous derrière la fenêtre, c'est bien là l'essentiel, et ça fait du bien pour le moral !

    23 avril 2008

    Pour TOI

    2 commentairess
     

    Rıhtım kuşları

    Acılara koşarcasına
    Denizlere sürüklüyor beni
    Üstüme üstüme geldikçe sensizlikler
    İnim inim inliyor Istanbul...

    Bu karanlık kentte
    Kaskatı kanımla
    Sığamıyorum düşlerime
    Boş sokaklar vurguluyor sensizliği
    Kentten kente götürüyor seni Istanbul...

    Bu koskoca kent acılarıma doluyor
    Rıhtım kuşları beni
    Yorgun gecelerine sürüklüyor
    Ve orada sensizliği
    Didik didik ediyor Istanbul...

    Üzeyir Lokman ÇAYCI
    Aksaray – "Istanbul"


     

    19 avril 2008

    Heureux qui comme Ulysse...

    5 commentairess
    Tadaaaaam ! Me revoilou !

    Je vous ai manqué ?

    (béh... dites oui, au moins pour me faire plaisir....)




    Ouhaaaaaaaa....! Alors par où commencer ?

    Je n'ai pas la force de me lancer dans un récit exhaustif de mon périple mexicain tant il fut riche en événements, en rencontres, en fous-rires, en alcool aussi (non, non, pas une goute de tequila ! Plutôt de la vodka et du whisky),  en joies, en instants inoubliables, bref un voyage haut en couleurs qui ne donne qu'une envie : repartir au plus vite vers ce pays gigantesque doté d'un passé d'une rare richesse.

    Pour tenter de brosser à très grands traits ces quelques 15 jours sous les tropiques, nous partîmes le 2 avril au petit matin après une trop courte nuit de sommeil. Au passage nous embarquons Elisabeth qui est sur le même vol que nous et qui se rend aux mêmes festivités. Le monde est petit.

    Quelques 23h heures de vol et de transit plus tard, notre avion se pose sur une piste bordée de cocotiers derrières la cime desquels le soleil étendait son manteau de pourpre parmi les vagues de l'océan pacifique. Un chauffeur nous attends et à bord d'une voiture blindée (oué, il fallait au moins ça !) nous gagnons notre hôtel à Acapulco. Le lendemain débutait le 5° Festival Français dans un des plus beaux palaces que compte Acapulco. Vous avez sûrement déjà vu à la télévision ces fêtes hors norme où tout le gratin mondain danse autour d'une gigantesque piscine sur les rythmes distillés savamment par un des DJ's les plus en vue du moment ? De ces fêtes orgiaques qui frisent l’indécence...? Ben, ça a été ça pendant 3 jours... Entrecoupés par une après midi de relaxation intense dans un petit coin de paradis bercés pas des hamacs enivrants sur une plage de sable blanc et une autre dans un endroit de rêve où, semble-t-il, Gloria Gaynor et Sylvester Stallone ont leurs habitudes.

    Notre passage à Acapulco s'est achevé lundi, jour où nous prîmes la direction de Guanajuato, magnifique ville coloniale située à quelques 10h de bus de là, au Nord de Mexico. Après avoir subi les aleas d'un passage à l'heure d'été mal négocié qui nous  fît rater notre bus ( et le dernier de la journée par dessus le marché !) nous voici à Guanajuato. Un seul mot pour résumer ce coin splendide : COULEURS ! Notre séjour à Guanajuato durra 2 jours, juste le temps de faire un tour au musée des momies (les Mexicains ont une relation à la mort toute particulière...), et de visiter la ville, classé tout de même au patrimoine mondial de l'UNESCO.

    Quatre heures de bus suffiront à nous mener à San Miguel De Allende, ville un brin moins charmante que Guanajuato, mais dans laquelle les échopes d'artisanat sont légion.

    Vendredi, direction Mexico où nous attendent Karim et Jean-Christophe, les amis de Laurent. Nous y retrouvâmes Elisabeth et une partie du petit monde d'Acapulco pour des soirées mémorables.

    Samedi soir, outre une bonne cuite, passage à une soirée mondaine où se coutoyaient attachés d’ambassades et diplomates de tout poils, organisée au sommet d'un immeuble par le groupe HSBC. Aux platines, rien de moins que le bassiste de Manu Tchao. Normal quoi. Le lendemain fut une des journées les plus difficiles de ce voyage...

    Dimanche, visite du Teotihuacan et de ses pyramides puis soirée sushis tranquillou chez Karim et J.C.

    Lundi : c'est déjà l'heure du départ ! Notre avion ne partant que le soir, nous avons encore le temps de faire un tour au Socalo, le centre hystorique de Mexico où nous effectuons quelques achats.

    17h, nous rejoignons l'aéroport pour 20h de trajet.

    Pour compenser la maigreur de ce récit, je mets quelques photos (j'en ai environs un millier !!) que vous pourrez commenter à loisir.

    2 avril 2008

    Je me casse !!

    3 commentairess

    Ca y est !!


    Le moment est venu de faire ma valise et de tirer ma révérence pour quelques jours de repos - amplement mérités.


    Désormais, j'ai le sésame magique entre les mains, la preuve en image :


    Alors il ne me reste qu'une chose à vous dire : 
    A bientôt !                         A presto !                                 See you later !
    tak zatiaľ !                   bis bald !              

    до скорого!                     τα λέμε σύντομα

    إلى اللقاء القريب

    ¡hasta prontito!

    na brzkou shledanou                                        

                                                             görüşmek üzere!